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Une rencontre électrisante

Cette fois, ayant appris de mes erreurs, je suis arrivé à l’heure, avec un bouquet qui devient conséquent, surtout que les lys prennent beaucoup plus de place que les roses ! Je connaissais bien le chemin car je l’avais emprunté plusieurs fois déjà, mais cette fois c’était diffèrent. Cette fois je savais que je serais physiquement à tes pieds, et pas seulement moralement. Il y avait donc une étrange combinaison de sentiments de familiarité et d’inconnu. J’étais nerveux et tu m’avais imposé de porter une cage depuis quelques jours, donc j’avais aussi une excitation accrue.

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Tu m’as ouvert la porte et je suis resté scotché, tu avais mis une très jolie robe en latex noir et blanc, rien à avoir avec l’esthétique Dominatrix traditionnelle, bien plus jolie. J’ai vraiment eu du mal à m’en remettre tellement tu étais vraiment ravissante. On a commencé par une très agréable conversation pour nous mettre à jour, on avait plein de sujets à aborder, de projets à concrétiser, et ça fait vraiment plaisir de prendre le temps de discuter autour d’un verre (d’eau). J’en ai d’ailleurs pris plusieurs, et heureusement, car j’allais bien transpirer après.

Pendant la conversation en a parlé, entre autres, de possibles pratiques futures dans ton nouvel appartement, pratiques que je n’avais pas considérés mais qui me paraissent alléchantes. De temps en temps mon regard se posait sur toi, tu étais vraiment très belle avec ta robe! Je faisais un effort conscient pour revenir à la conversation, surtout qu’on parlait de choses importantes.

Quand tu as considéré, tu as décidé de commencer les jeux, passage au toilette et attente agenouillé requise. Répétition du mantra pour calmer mon cœur. Tu es apparue, et tu m’as mis une cagoule en latex très contraignante, je ne voyais presque rien et elle me serrait le cou, pour finir tu m’as remis le collier en serrant encore, tu as rajouté une laisse. Quel bonheur ! J’aime vraiment sentir la pression autour du cou et la contrainte de la cagoule. Je t’ai suivi à quatre pattes jusqu’à l’aire de jeux. Ça faisait longtemps qu’on ne commençait pas comme ça et c’est une bonne façon je trouve.

Tu m’as demandé de commencer par embrasser tes pieds, histoire de me faire rentrer doucement dans le subspace. Je m’efforçais d’être méticuleux, et de bien les couvrir de baisers. La cagoule m’empêchait de bien les sentir, mais juste le fait d’être à tes pieds est un vrai bonheur pour moi.

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Tu m’as donné quelques gifles, et tu m’as attaché mains et pieds en hogtie puis tu m’as donné quelques coups de martinet, histoire de m’échauffer. J’étais déjà rendu à toi.

Tu m’as enfilé des cuissardes très hautes et avec des hauts talons, un collant et un corset, le tout bien serré. J’ai vraiment adoré ! Je me trouvais belle et j’aimerais un jour, le moment venu, être féminisé de la guise (cagoule, corset, cage, collants et talons) en public ou en soirée. Les bottes étaient très hautes et serrées, c’était un délice. Elles étaient aussi très confortables. Et heureusement quelles étaient confortables, car j’ai dû les porter pendant longtemps! En effet botté comme j’étais tu m’as attaché pieds et mains au mur. Je savais que même si je tirais de toutes mes forces, je ne pourrais pas me libérer. J’ai eu le sentiment d’être vraiment à ta merci, plus que jamais. Et pas une once de peur, que du bonheur de t’appartenir. Je savais que j’allais souffrir, mais j’étais prêt à le faire. Tu m’as décoré avec quelques lourdes chaines et tu m’as prise en photo, jolies photos que je garde précieusement.

Tu es passée aux choses sérieuses, tout d’abord des ventouses à vis sur les tétons, puis une roue dentée que tu prenais plaisir à faire parcourir sur mon corps entravé, pour finir avec des couteaux avec lesquels tu as effleuré (bien plus qu’effleuré, vu les marques !) ma peau. Je t’apercevais à peine par les trous de ma cagoule, mais je devinais que tu avais ce regard sadique que j’aime autant. Ça faisait un mal très bon… Je dois te dire que j’aime bien porter les marques de tes gestes sur ma peau, je ne peux que sourire le lendemain quand je constate une coupure, un bleu, quand en mettant une chemise mes tétons encore douloureux me rappellent qu’ils ont subi tes jeux.

Mais tout ceci n’était qu’un échauffement pour préparer le plat de résistance. Tu as sorti une petite mallette que j’ai instantanément reconnue, j’ai tout de suite compris que tu allais me faire gouter la douleur électrique. Toujours attaché au mur par les pieds et les mains, toujours avec les hauts talons, tu m’as mis des électrodes sur les cuisses et tu as commencé un jeu diaboliquement génial. La douleur arrivait instantanément, par surprise, et repartait aussi vite. Je n’ai pas pu contenir mes hurlements donc tu m’as aidé à les contenir avec un bâillon.

Confortablement installée sur ton fauteuil, tu m’envoyais des décharges de plus en plus fortes sur des durées de plus en plus courtes. Je ne sais pas à quel niveau de la machine tu es arrivée, pour moi c’était une douleur de 8-9. C’était la première fois que j’expérimentais ceci, je dois dire que j’aime bien. Le fait de savoir que c’est de la douleur pure, intense mais sans danger réel, me permet de mieux la tenir, de mieux la sentir et de mieux en profiter. J’ai hurlé, tiré sur les attaches, transpiré… et adoré ! Je me suis senti plus à ta merci que jamais.

Satisfaite (j’espère) du fait que tu avais bien repoussé mes limites, tu m’as détachée, enlevé le bâillon et ordonné d’aller aux toilettes pour enlever les bottes et remettre mon caleçon, mes chevilles t’étaient reconnaissantes ! J’y suis allé tan bien que mal, car les jambes me tremblaient et mon corps entier frissonnait. Bottes enlevées je suis repartit te retrouver toujours tremblant et toujours trempé.

Tu m’as reçu en me demandant de m’agenouiller sur une housse en plastique posée par terre. Un verre d’eau est apparu entre tes mains, tu me l’as offert et je te suis reconnaissant car jetais déshydraté, heureusement que j’avais bien bu de l’eau avant de commencer ! Tu m’as partiellement hotté la cagoule, soufflée dans le cou pour le refroidir. Je sentais que tu prenais soin de moi et je me suis senti très à l’aise, tout allait bien, j’étais en sécurité.

Tu m’as ordonné de m’allonger par terre sur le dos. Toujours avec ma cagoule qui me privait presque complètement de vision. Je t’ai entrevu debout à côté de moi, des bougies dans la main, le sourire aux lèvres. La lumière de la bougie se réfléchissait sur ta robe en latex, c’était vraiment très joli. Mais je savais ce qui m’attendait, et c’est en effet arrivé rapidement. La cire chaude tombait impitoyable sur mon corps, elle faisait mal, elle faisait très bien ! L’intensité est allée in crescendo, je bougeais de plus en plus à cause de la douleur.

Dans la playlist que tu avais mise, Rammstein est apparu, je t’ai fait la remarque que j’aimais bien et tu as mis plusieurs chansons à la suite. Franchement c’était cool de ta part et je pense que ça apporte un plus à l’expérience. Tu as testé les eaux pour le trampling, en t’agenouillant sur mon thorax. J’aime bien sentir la pression de ton poids. De même tu as mis ton pied sur ma gorge et fait une légère pression, j’ai adoré cette façon d’avoir le souffle coupé. Tu n’as pas insisté. Au lieu de ça tu m’as fermement bloqué la tête entre tes cuisses, je ne pouvais qu’apercevoir tes culottes mais je trouve la position très excitante et ce que je voyais me plaisaient beaucoup. Clairement en dehors de ma portée, aucune chance de pouvoir les toucher, tu me bloquais très fermement.

De toute façon pas de temps de m’attarder sur ça, la douleur continuait à augmenter, on était de nouveau sur du 8-9, j’allais te signaler que je ne pouvais plus et… tu t’es arrêtée. C’était fini, j’étais soulagé, j’avais tenu bon. Tu m’as habilement enlevé la cire du corps avec le couteau, je cherchais à te caresser pendant que tu le faisais. Tu m’as enlevé la cagoule et envoyé prendre une douche pour finir d’enlever les traces de cire. Je volais très haut.

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Zentai et shibari

Revenu de la douche tu m’as fait enfiler une combinaison de type full bodysuit zentai, c’était une sensation étrange, mais c’était confortable. Très vite j’ai compris pourquoi, car pour ce troisième acte tu avais décidé de faire quelque chose de plus reposé, du shibari. Là encore c’était ma première fois. C’était agréable de me sentir ligoté, incapable de bouger, le tout avec de la musique relaxante qui, après Rammstein, était un bon contraste.

Tu as découvert que je suis chatouilleux, tu ne t’es pas privée de t’amuser avec ce point faible. Recevoir tes chatouilles implacables, en étant complètement ligoté et sans pouvoir m’échapper, c’est quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas du tout. Heureusement tu t’es arrêtée avant que ça devienne trop, tu es restée à un niveau amusant, mais je vois bien que ça peut devenir une vraie torture !

Tu m’as envoyé vers la douche, mais je me suis arrêté pour m’agenouiller devant toi, te serrer les jambes et appuyer ma tête sur ton ventre, puis pleurer de joie. J’étais en extase.

Revenu de la douche, affamés, nous sommes partis diner. Lors du diner, tu m’as fait part du fait que le temps est passé très vite pour toi. Tu m’as dit aussi que tu n’as pas eu le temps de faire plein de choses que tu avais prévues. On remet ça à la prochaine fois !

Ce n’est qu’en arrivant chez moi que j’ai eu le droit d’enlever la cage, mais je n’ai ressenti aucune envie de me toucher. Ce que j’avais vécu était tellement mieux qu’un orgasme physique !

Merci Madame, vraiment.

Je reste toujours à tes pieds.

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