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Un weekend intense

Nous prévoyons de nous retrouver avec Inanna Justice pour un weekend au mois d’août. Quelques jours auparavant, Madame me demande de mettre ma cage de chasteté, soit 10 jours avant nos retrouvailles. Je réfléchis, et j’accepte finalement le défi, n’ayant pas l’habitude d’être encagé sur des durées définies. Les jours passent, l’excitation monte de jour en jour… je me réhabitue à porter ma cage, j’alterne entre celle en silicone et celle en métal… je l’enlève pour aller au travail, la remet en rentrant… bref… je reste chaste et m’abstient de tout plaisir avec mon sexe. Je m’autorise quelques pénétrations anales pour compenser un peu le manque et aussi pour me conditionner à devenir une chienne, une pute, vous avez le choix de l’appellation.

Pour la quatrième fois, je retrouve Inanna Justice pour passer le weekend avec d’autres amis. Il fait beau et chaud, c’est l’été, et sous mon pantalon, une cage en métal bien en place depuis la veille. Quelques discussions pour faire connaissance avec de nouvelles têtes, il est temps de se lancer dans le jeu.

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Le début d’un weekend intense.

 

Madame m’a demandé d’aller cueillir quelques branches d’horties. J’exécute sa demande et j’accède au donjon pour lui offrir le bouquet qui lui servira à me faire souffrir. Je suis ainsi nu, perché sur des talons à plateforme et je suis enroulé dans un film plastique autour d’une poutre verticale. Mes pieds reposent sur une cale en bois.

L’excitation est au rendez-vous. Evidemment, je suis serré fort, et les branches d’horties ont été placées juste avant : une dans le dos, le reste sur le torse, les démangeaisons commencent. Mon corps est entièrement immobilisé, la tête également, bâillonné par la même occasion, je suis à la merci de Madame qui retire la cale en bois. Je suis ainsi collé à la poutre et je ne touche plus le sol. Quelques tortures complémentaires s’ajoutent avec la roulette à pics pour me faire gémir.

La libération arrive, mais la douleur des horties, assez supportable finalement, restera pour le restant de la journée tel un fil conducteur.

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Les marques d’orties.

 Vient l’heure de la promenade dans le bois. Je suis toujours nu et encagé, Madame m’emmène dans à hauteur d’un banc. Elle a choisi ses 2 martinets et son fouet pour me faire souffrir. Bien que j’arrive à contrôler l’impact du martinet, celui du fouet reste toujours difficile pour moi. Je souffre, je crie, j’endure, j’accepte la douleur. Ma place est bien là : dehors, isolé, offert à Madame qui prend tout son plaisir à me faire mal et à enchaîner les coups.

Au fur et à mesure, je me plonge dans la soumission…

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Le fouet, une de mes pratiques préférées.

La soirée arrive, et après manger vient l’heure de se transformer en bon petit chien. Muni d’une cagoule de chien et d’un plug avec queue en fourrure, Madame souhaite aller faire un tour dehors, dans un espace public non loin de la demeure. Avant de sortir, Madame me retire la cage de chasteté, d’une façon inattendue. Elle enlève le tube principal, puis au moment de faire passer le pénis et mes testicules une à une, elle tire d’un coup sec pour tout faire passer en même temps. La douleur est très intense, je hurle de douleur pour son plaisir. Aucun doute, elle fait ce qu’elle veut de moi. J’aime son sadisme.

Nous partons. Peu de risque de croiser quelqu’un en pleine campagne, je suis poussé à déambuler à 4 pattes dans un tunnel piétonnier. J’ai très rapidement mal aux genoux et aux coudes : Madame ayant immobilisé les bras avec des sangles pour être au plus près du sol. Je suis alors un chien, tiré par une chaîne, seulement bon à obéir et à souffrir. Je suis déconnecté de la personne que je suis, je deviens un animal traîné, peu vêtu, suivant Madame à ses pieds. Mon plaisir arrive ici : perdre le contrôle de ce que je suis et devenir un animal que l’on pourrait baiser n’importe où en pleine nature.

De retour à la maison, il va être bientôt l’heure d’aller dormir au pied du lit de Madame, hanté par de l’excitation et mon statut de mâle inférieur. Cette sortie en extérieur, ces jeux au milieu de la nature, m’ouvre davantage sur moi-même et le besoin de lâcher prise. Je m’endors avec le rêve de me faire baiser comme une pute, une chienne, une salope… Là encore vous avez le choix.

Le lendemain, nous poursuivons les jeux dehors. Mais il est quand même temps de monter la tension non ?

Madame me maquille les yeux pour donner un effet particulier. Je suis en excitation pendant cette séance de lifting. Je suis maquillé comme une femme, je deviens quelqu’un d’autre… ou plutôt simplement, la bonne petite soumise de Inanna.

Toujours avec mon plug dans l’anus, je suis cagoulé et bâillonné comme une pony. Le bâillon harnais est imposant, je suis fortement immobilisé à la tête. Je me retrouve en forêt, près d’une cabane abandonnée, enchaîné, accroupi à un grillage. Mon sexe bande par moment, Madame accroche alors une pince avec un premier poids. Puis sans tarder s’ajoutent des poids supplémentaires pour atteindre environ 750 grammes. Mon sexe est torturé, dans un bruit étouffé par le pony-gag. Mon corps s’ouvre entièrement à Madame, je suis juste un objet à torturer, je ne contrôle absolument plus rien, comme à chaque fois !

Un peu plus tard, dans l’après-midi, Madame me demande d’être entièrement nu pour aller dans le bois (et oui encore !). Cette fois, il était temps de découvrir l’isolation par le biais d’une cagoule intégrale avec seulement 2 trous pour respirer par le nez. Madame m’enroule de cellophane noir pour être entièrement immobilisé, allongé sur un banc en pierre. Il vient alors le temps de prendre conscience de mon statut de soumis, abandonné, au milieu d’un bois, pendant que Madame se repose non loin avec un livre.

Les minutes passent, je me sens détendu, je ne vois rien, j’entends le bruit du vent, je ressens l’air frais caresser mon corps et je capte certains bruits de pas. Peut-être Madame qui se déplace, peut-être un inconnu curieux de la scène… j’ignore ce qui peut se passer et je ne suis pas là pour me poser cette question. Je suis et reste immobilisé le temps que Madame décide, c’est la seule à décider de la fin du jeu. Après environ 30 minutes, je suis libéré, je commence à avoir froid, je chausse mes talons à plateforme pour rentrer à l’intérieur de la maison.

WEEKEND INTENSE
Vous pouvez voir une vidéo de cela sur mon Twitter et FetLife.

La fin du weekend approche, le dernier repas est pris, des discussions intéressantes sont échangées pendant que la nuit tombe. Il est bientôt l’heure de rentrer… mais… il ne faut pas oublier que j’avais rêvé la nuit dernière…

C’est l’heure du dernier jeu…

Je m’habille à nouveau, en bonne petite pute : escarpins vernis noir, collants, porte-jarretelle, mini-jupe, corset, cagoule et collier… J’entre dans le donjon, éclairé discrètement pour l’occasion.

Madame m’ordonne de m’allonger sur la table d’examen, et d’ouvrir mon entre-jambe. Madame va alors me visiter.

Je suis attaché par une corde qui relie mes 2 chevilles entre-elles passant par le cou, ce qui m’oblige à garder les jambes ouvertes et en arrière. Mon sexe est offert à Madame, elle a de nouveau le champ libre.

Un peu de lubrifiant vient caresser mon anus, je suis rapidement pénétré part un gode onctueux pour dilater la zone. Les premiers va et vient commencent alors. Je suis godé par Madame, et mon cul s’ouvre à elle. Je suis sodomisé comme une pute, je fais face à Madame qui prend du plaisir et me le défoncer. Je crie, j’hurle, j’aime ça, je lui supplie de me baiser comme une chienne… j’ai mal, mon trou est élargi, le passage est désormais bien aiguisé. Nos regards se croisent par moment, le sien avec un sourire, le mien envahit par la douleur. Je me fais baiser.

Après avoir probablement nettoyé son gode, elle le replace sur elle pour me le présenter à la hauteur de mes yeux. Je le vois : gros, noir, et rapidement je suis contraint de l’enfiler dans ma bouche. Je le suce et ma bouche est remplie entièrement, faisant déborder la salive qui ne sait plus par où couler. Madame me crache au visage pour me rabaisser, crache sur mon pénis qui ne sert plus à grand chose à part pour souffrir… La désignation de mon sexe devient même « clitoris » !

Puis le retour dans ma nouvelle chatte, je suis à nouveau pénétré pour être baisé. Un vibromasseur vient compléter le plaisir et Madame l’applique sur ma queue pour faire monter l’excitation. Puis, pour éviter de jouir comme un vulgaire mâle, l’appareil descend sur les testicules avant de terminer sur l’anus. L’objectif est clair : aider le cerveau à transférer ma sexualité vers l’anus, nouveau point de plaisir pour ce que je suis devenu : une bonne chienne mouillée. Car Madame l’a bien constatée : j’ai mouillé par ma chatte et ce n’est ni le lubrifiant, ni l’eau du lavement !

Vu dans l’état que je suis, Madame me souffle à l’oreille qu’elle aimerait bien inviter des copines un jour, certainement pour me baiser simultanément. Si je peux donner du plaisir, j’en suis heureux.

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La grande finale de ce weekend.

Je suis relâché de ce moment intense pour me laver l’arrière à la douche. Je me prépare à conclure notre rencontre, mais je suis de nouveau invité au donjon pour y être attaché à une poutre verticale. Mes mains sont solidement attachées en hauteur. Madame n’a pas terminé de s’occuper de moi.

Je vais souffrir de ses coups de cravache… Elle donne les premiers coups, et je souffre terriblement. Chaque coup donné sur les fesses, me fait tortiller dans tous les sens, mais je ne peux m’échapper. Les cordes font leur travail en serrant mes poignets. Je souffre pour elle. Elle continue, c’est très dur. J’accepte la douleur, je me demande jusqu’où elle veut aller.

Une autre personne entre dans le donjon, un ami. Il est désigné pour lancer 4 dés. Il obtient le nombre 15.

Je vais recevoir 15 coups et je suis invité à compter en anglais.

One… two… mais je crie trop fort. Alors Madame me bourre la bouche sévèrement de bondage-tape, puis reprend.

Je crie mais j’entends bien que le bruit est atténué. Je suis torturé, mais je vais bien… Je continue de compter mais étant bâillonné, Madame annule certains coups pour me frustrer probablement.

J’approche des derniers coups, mais je me sens partir, lâcher prise, j’ai perdu le contrôle… les larmes arrivent car mes cris ne suffisent plus à contenir la douleur. Je suis au plus mal quand vient les derniers coups successifs quand je lâche tout pour finir pendu par mes bras…

Madame me détache pour me prendre dans ses bras, sur ses genoux, pour me réconforter… Je tremble, je pleurs, j’ai froid… mais je me sens bien dans le fond. Je suis à ma place, à ses pieds pour subir ses sévices.

Le weekend s’achève ainsi, par des moments durs, mais enrichissant. J’ai pu grâce à Inanna, repousser mes limites dont j’ignorai pouvoir dépasser. Elle a le mérite de m’avoir fait pleurer, elle sait où m’emmener pour mon bien. La confiance instaurée depuis plusieurs mois, permet d’arriver à des résultats insoupçonnés. On ne s’est pourtant pas vu beaucoup de fois, mais elle commence à bien me connaître. Elle sait doser sa Domination au regard de ma personnalité.

Merci Madame.

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