instant après

Pour l’instant d’après

Cela m’arrive d’envoyer mes soumis chez mes copines Dominatrices. Voici le compte rendu d’une visite chez ma chère copine Maîtresse Blanche.

Pour l’instant d’après

Ça faisait plusieurs jours que j’essayais de deviner ce que Madame Inanna me préparait pour ce vendredi après-midi, tant attendu, il faut l’avouer. J’ai donc tout de suite compris qui nous allions voir lorsque j’ai reçu l’adresse du rendez-vous au réveil : la gynarchic nurse clinic de la délicieusement sadique Maîtresse Blanche. C’est un lieu qui avait déjà éveillé mes fantasmes il y a plusieurs mois, lors de mes explorations perverses sur Twitter, sans même savoir à ce moment que Madame et Maîtresse Blanche était amies. Entre temps, j’ai eu la chance de la découvrir lors d’une soirée, à laquelle je suis ressortie, tout zébré, le corps et l’esprit marqué par les claquements de terribles élastiques.

C’est donc tout excité (mais toujours en cage…) que je pars de chez moi, après avoir enfilé une couche, culotte plastique (ordre de Madame, je ne nierais pas que je trouvais l’idée aussi excitante qu’intimidantes, mais certainement un peu ridicule aussi).

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A l’heure du rendez-vous, je reçois un message “Tu montes. La porte est ouverte. Il y a une chaise, déshabille-toi et laisse tes affaires sur la chaise” l’ordre est donné, la séance commence vraiment, et je m’exécute. L’attente, seulement habillée d’une couche (souillée…) et d’une culotte plastique, me met immédiatement dans l’ambiance, je m’attends aux remarques moqueuses qui découlerons de cette situation, et bien évidemment ça n’a pas manqué.

Maîtresse Blanche est venu me chercher, habillée d’une blouse médical cachant en partie une tenue noir sexy, et m’emmène dans une pièce médicale avec un lit d’hôpital, bardé de sangles et d’attaches, des tables remplie d’objets incongrus, des plug, seringues, d’autre couches, et sur une chaise, celle qui me permet d’explorer ce monde formidable, Madame est assise, magnifique et digne, sourire aux lèvres. Elle m’a prévenue qu’elle resterait sûrement spectatrice cette fois-ci (Une joueuse comme elle ? spectatrice ? Ouiiii bien sur…) je focalise donc mon attention sur Maîtresse Blanche, qui ne tarit pas de remarques sur ma situation, et me fait enlever la couche, pour m’y faire tremper les doigts et expérimenter un peu mon urine, je m’exécute bien sur, en essayant de m’appliquer et m’impliquer le plus possible. Je voulais montrer que l’Insolent pouvait être docile et soumis, du moins en partie…et je redoutait pas mal les punitions qu’elle aurait pu imaginer. La suite de la séance à montré que j’ai bien fait !

Afin de rester dans la régression/humiliation, elle décide de me mettre 3 couches (je ne vais pas nier mon fetish sur cet objet, mais trois couches…ça sonnait déjà ridicule même avant de les porter, et ça n’a pas manqué.) Elle ajoute également une sorte de gélatine, froide, au niveau des fesses, pour simuler une souillure plus profonde j’imagine…et ça marche très bien. Ce n’est vraiment pas agréable, et mes grognements le signal régulièrement. Malgré cela, je suis tout excité dans mes couches, lorsqu’elle commence à m’attacher sur le lit. Une fois bien en place, avec des sangles sur tous les membres, au niveau des couches, et même de la tête, les choses sérieuses commencent. Elle sort un test antigénique, et, ayant déjà pu expérimenter son plaisir à écouvillonner, je me prépare à ce qui va arriver : un viol de mes narines, tout simplement. Ça avait l’air très drôle, car Madame Inanna, après avoir vue Maîtresse Blanche faire, s’est occupée de la 2ème narine. Quelle situation bizarre, je me retrouve attaché à un lit d’hôpital, en couche, avec 2 femme très sexy qui s’amuse à me faire pleurer en m’écouvillonnant les narines… et le pire ? J’adore ça !

En discutant de tout son arsenal et notamment des aiguilles (choses qui m’impressionnent encore beaucoup), Maîtresse Blanche fait souffler un vent de sadisme dans la pièce, en mentionnant des aiguilles électrifiées. Je blanchie en voyant les yeux de Madame s’illuminer, j’aurais pu toucher son désir, et, comme souvent, ce dernier surclasse ma peur, et j’accepte l’expérience, en étant conscient que je devrais d’abord supporter des aiguilles, avant la réelle épreuve.

Après avoir décidé de l’endroit (mon pied gauche qui pendait en l’air ) Madame Blanche s’occupe de poser les deux premières aiguilles. Son sadisme se manifeste clairement dans sa façon de planter, lentement, consciencieusement, et je me concentre sur ma respiration, comme on me l’a toujours appris, pour supporter au mieux cette…experience. Les deux aiguilles de maîtresse Inanna, elles, ont été introduites d’un coup (merci pour ça Madame !), rapide, efficace, comme la femme qui les à dirigées). Ça c’était la partie “facile”.

Maîtresse blanche revient avec un boîtier, connecte les pinces crocodiles aux aiguilles, deux par deux. Et là je me prépare, j’appréhende, je la voie actionner le boîtier…rien ne se passe, plus de piles, un léger soulagement (complètement vain et illogique car au point ou j’en était, je ne pouvais plus échapper à l’électricité), je me relâche, regarde ailleurs….Puis une douleur intense, comme des grosses piqûres à répétition dans mon pieds. Je crie de surprise, m’agite dans mes contraintes, essaye d’échapper à cette douleur, surement une des plus intense que j’ai ressentie jusque-là, sur le coup, et sous le choc, je n’ai même pas réalisé que c’était de l’électricité, et j’essayais de comprendre pourquoi elles me poignardaient le pieds à ce point ! Enfin cela s’arrête (en réalité c’était assez court je pense, mais ça semblait interminable sur le moment) “Ah, ça marche” dit-elle enthousiaste, “et ce n’est que le niveau 1”. A ce moment j’étais terrifié, je ressentait le plaisir post-douleur habituel, mais cette dernière était encore très fraiche dans mon esprit, et si difficilement supportable que je ne voulais pas, VRAIMENT PAS expérimenter les niveau superieur, j’espérais même que ça leurs suffirait. Seulement, Madame Inanna m’a regardé “Encore deux, pour moi”. Pour elle, pour elle je peux, et je lui fais confiance 2 c’est 2, c’est tenable, ça parait si dur, mais c’est tenable. Maîtresse Blanche à, comme toujours, l’idée lumineuse de me boucher le nez et la bouche pendant les chocs, je prend alors une grand respiration, ses main se pressent sur mon visages, et les poignards reprennent, je crie dans ses mains, me débat, puis c’est fini, un peu de répit. Plus qu’un, “pour elle” je me répète. Je reprends une respiration, les mains gantées de Madame Blanche reprennent leurs positions, et les chocs électriques recommencent. Cette fois m’a paru beaucoup plus longue que les autres, je cherche à crier, à inspirer de l’air, continue (toujours) à me débattre inutilement, mais je suis maintenu fermement par des divines mains et de solides contraintes.

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Enfin ça s’arrête, une sensation indescriptible envahit mon corps, des fourmillements partout, la tête qui tourne, un bien-être inédit. C’est fini, je l’ai fait et c’est si bon. Le moment d’après…ce moment de fierté, de soulagement, et d’autre sensation et émotions que je suis encore incapable de décrire. Ce moment qui a un prix, de douleurs, d’inconfort, peu importe, il le vaut totalement. Ces sourires sur les visages de ces magnifiques femmes, leurs félicitations pour l’épreuve encourue… Ce moment est délicieux.

Pour finir la séance, elles m’ont laissé jouir, non pas sans que Maîtresse Blanche s’amuse à me chatouiller les narines avec un pinceau pour me distraire de ce plaisir que j’attendais depuis plusieurs jours. Aussitôt rempli, le préservatif se retrouve vidé dans ma bouche, avant même que je ne puisse profiter des sensations de ma jouissance, je dois subir le goût de cette dernière…

C’était définitivement une des expériences les plus intenses que j’ai vécues jusque-là. Le lieu, les pratiques, les deux esprits pervers, et sadiques de ces femmes d’exceptions m’ont transporté. En rentrant chez moi j’étais lessivé, j’ai passé plusieurs heures allongé dans le lit à réfléchir et comprendre ce moment…

Merci Mesdames pour cette expérience, vous me faites voyager mentalement, explorer des fantames bizarres, découvrir des sensations inédites, finalement…..vous me faites vivre. Merci encore.

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