Les chatouilles et les coups

Après avoir gravi les étages, je me retrouva devant la porte du donjon d’Inanna Justice. Je toqua et Inanna Justice, souriante, élégante et gracieuse, m’ouvrit la porte. Je rentra et déposa mes affaires. Inanna Justice me proposa gentiment un verre d’eau que j’accepta volontiers. Nous discutâmes rapidement des règles de sécurité et je me dirigea vers la salle de bain. Comme Inanna Justice me l’avait demandé, je me mis à genoux avant de toquer à la porte de la salle de bain. Inanna Justice ouvrit la porte et me mit un collier signifiant qu’elle s’impliquera entièrement pendant la séance.

Je me leva, la suivit et nous entrâmes dans le donjon. Inanna Justice me mit des bracelets autour de mes poignets et de mes chevilles puis m’attacha aux chaînes fixées au plafond. Je me retrouva les bras en l’air vulnérable aux prochains châtiments d’Inanna Justice. Elle commença par des griffures le long de mon corps. Ma peau blanche réagissait de suite et rougissait quelques secondes après le passage des ongles d’Inanna Justice. Pour décupler les sensations, Inanna Justice me mit un bandeau sur les yeux m’empêchant d’anticiper les futurs sévices. Inanna Justice commença par me pincer les tétons afin de jauger ma résistance à la douleur à partir de l’expression de mon corps. Elle y plaça des pinces sur chacun de mes tétons ce qui devenait instantanément plus difficile de résister à la douleur. Suite à cela, pour m’approcher de mes limites, elle y déposa des poids sur chacune des pinces un par un, d’abord sur la pince de gauche ce qui me fit grimacer puis quelques secondes plus tard, la pince de droite me faisant pousser un petit cri de douleur. Elle recommença jusqu’à y mettre 3 poids sur chaque pince. Après cela, Inanna Justice me dit :

  • Inanna Justice : Vous savez ce qui fait le plus mal ?
  • K. : Oui, c’est lorsqu’on enlève les pinces.
  • Inanna Justice : Oui c’est vrai.

Tout de suite après ses mots, Inanna Justice retira les pinces permettant au sang de circuler et ainsi intensifier les sensations douleurs et de plaisir le tout dans une symbiose troublante.

  • Inanna Justice : Mais vous savez quand est-ce que ça fait aussi mal ? C’est quand on les remet !
  • K. (en grimaçant) : Aïe aïe aïe !

Après quelques minutes de sensations intenses avec les pinces, Inanna Justice me pinçait les tétons avec ses ongles, ce qui m’approchais de mes limites et je n’ai pas eu le choix de prononcer le mot magique.

Inanna Justice me détacha et m’emmena vers la croix de Saint-André pour subir mes prochaines tortures. Inanna Justice m’immobilisa grâce aux bracelets et aux sangles pour me maintenir dans une position vulnérable. Elle commença en me frappant avec un martinet qui me fit ressentir des impacts lourds dans mon dos et sur mes fesses. Je sentis au fil des coups, ma peau se réchauffer et devenir de plus en plus sensible. Elle continua ensuite avec un fouet avec des lanières plus fines qui provoquaient des impacts plus cinglantes et plus douloureuses. Chaque contact avec les lanières me faisait ressentir une douleur vive et intense mais j’arrivais tout de même à résister en me concentrant sur ma respiration. Après plusieurs séries de coups, je lui indiquait que tout allait bien et suite à cela : 

  • Inanna Justice : Heureusement ! Et vos tétons, ils vont bien ?
  • K. : Oui.

Bien évidemment, Inanna Justice avec son côté sadique, elle en a profité pour pincer mes tétons ce qui me fit grimacer et émettre des cris dû à la grande sensibilité de mes tétons.

Après quelques minutes, Inanna Justice me délia et me dirigea vers la cage. À l’écoute de ses ordres, je m’allongea sur la cage, sur le dos. Inanna Justice m’attacha les pieds et les mains me rendant totalement vulnérable à ce qui allait suivre. Bien évidemment, Inanna Justice en avait profité pour me chatouiller notamment au niveau de mes pieds ce qui me provoqua des fous rires. Dans un même temps, pour contraster les sensations, Inanna Justice me frappait avec une canne sur mes cuisses qui devenaient de plus en plus rouges suite aux impacts cinglants. Suite à mes fous rires dû aux chatouilles que je subissais, Inanna Justice détacha mes mains et les rattacha au-dessus de ma tête.

  • Inanna Justice : En voyant vos bras en forme d’ailes de poulets, je me pose la question, comment vais-je vous cuisiner maintenant ? Vais-je les farcir ? Les rôtir ? Ou bien les mijoter ? J’hésite.

Au rythme d’une musique de Queen, Inanna Justice me chatouillait ce qui me faisait bien évidemment rigoler mais aussi lâcher prise ce qui me permettait de savourer pleinement l’instant présent. Après plusieurs minutes de fou rire, Inanna Justice s’approcha de mes aisselles mais n’étant plus capable de respirer en raison de mes nombreux fous rires, je lui prononça le mot magique pour pouvoir reprendre mes esprits.

Inanna Justice me libéra puis je me leva pour reprendre mon souffle. Elle me demanda de m’allonger sur la cage mais cette fois-ci sur le ventre en gardant les pieds sur le sol. Inanna Justice me dit que j’allais devoir subir autant de coups de canne sur mes fesses que mon âge. Les premiers coups tombent et je remarqua de suite que les coups étaient intenses mais supportables. Arrivé à 10 coups, Inanna Justice intensifia les coups en m’administrant 5 coups consécutifs ce qui rendit la zone de mes fesses très sensible et douloureuse. Inanna Justice continua les coups un par un jusqu’à atteindre le coup final (heureusement que je ne suis pas retraité). Après la séance, nous avons discuté sur différents sujets très intéressants ce qui m’a permis d’en apprendre plus sur le BDSM mais aussi pour revenir dans le monde réel.

Merci beaucoup Inanna Justice pour cette séance intense et enrichissante où j’ai pu repousser mes limites notamment en lâchant prise dans votre univers bienveillant.