Une relation priviligiée
**Ce soumis est sous ordres de me tutoyer. Ce n’est pas le cas pour tout le monde.
Bonjour Madame,
J’ai profité du vol à XXX pour faire le bilan de cette séance ( je t’écrirais sur le dîner plus tard ). By the way, dis-moi si tu veux que je t’achète quelque chose qui te manquerait des US.
Première surprise, tu m’attendais souriante, vêtue en chemisier, cheveux vers l’arrière, mini jupe et talons, on aurait dit la secrétaire de mes rêves, super sexy. Avec un aspect sévère qui induisait déjà à l’obéissance.
Tu m’as fait m’agenouiller devant toi, puis me dévêtir, et tu m’as mis un collier, ce collier que j’aime bien porter parce qu’il me met à ma place.
Je sais que c’est important de se tenir à genoux devant sa maîtresse. J’espère donc pouvoir m’améliorer pour tenir plus longtemps. Comme je t’ai mentionné, quelque chose de doux aide, et a défaut, ça aide aussi de ne pas être assis sur mes chevilles, mais un peu plus relevé. Cela dit, je suis prêt à souffrir pour toi (comme punition ou parce que tu veux simplement) et donc à tenir aussi longtemps que physiquement je pourrais, autant de fois que tu voudras.
Tu m’as mis une cage, temporaire, mais très excitante. Je craignais que tu n’arrives pas et tu désistes, très bonne idée de me ficeler pour bloquer mes couilles fuyantes. Tu m’as donné le choix d’aller chercher la clé à la fin de la séance dans les toilettes ou partir en cage. Si je n’avais pas eu à prendre un vol.. J’aurais vraiment été tenté de partir avec.
Tu m’as ordonné de me coucher sur le ventre, ligoté en hogtie ( je rêvais de l’être et j’adore ), esquissé ce qui serait d’être fouetté dans cette position (j’aurais aimé). Tu as inspecté mon cul qui hélas! reste fragile. Ma cage devenait étroite, j’avoue être resté sur ma faim ( mais c’était une contrainte du rendez-vous, j’espère pouvoir bientôt m’offrir à toit sans contraintes autres que mes limites).
Et tu t’es amusée avec moi, tu as profité de mon impuissance. Tu m’as fait sentir des chaînes lourdes et froides; des odeurs familières, mais que je peinais à nommer. Je me sentais une simple diversion pour toi et c’était humiliant, mais je me disais que si ça te divertissait ça valait le coup, et j’ai aimé, en particulier quand tu m’as mis des morceaux de clémentine dans les narines ( qui l’aurait dit).
Tu m’as ordonné de me retourner, ta blouse et ta jupe étaient disparues, mais j’ai à peine pu me régaler. Tu m’as ligoté sévèrement, avec des ceintures. Je n’avais jamais senti ça et je te confirme que j’adore. Jetais vraiment à ta merci et a ma place, au sol a tes pieds.
Tu as commencé avec le magic wand sur ma cage, c’était bon! Mais je vois bien que encagé j’aurais vraiment du mal a jouir.
Tu as sorti les pinces a vis (merci pour le compliment, ça m’a fait vraiment plaisir de te les offrir). Ton mélange de douceur et dureté est incroyable. J’avais un peu peur qu’elles fassent vraiment mal, mais c’était une douleur supportable ( et je sais bien que ce l’était par ce que tu as voulu, je sais bien que tu aurais pu me faire hurler de douleur avec ). Tu m’as rappelé de respirer et c’est vrai que ça aide, puis t’as enchaîné avec d’autres pinces que je ne sentais quasiment pas ( sauf une je ne sais plus où ). Les endorphines faisaient déjà un effet certain.
Tu as continué avec les bougies, que je t’avais mentionné vouloir tester… Et c’était l’extase! C’est super bon! Je ne sais pas si je suis entré en subspace ou pas, mais j’aurais voulu que tu continues. Cependant, et certainement pour me protéger de moi-même, tu as arrêté. Tu as commencé a m’enlever la cire, au début je ne comprenais pas ce que tu faisais je me suis dit que tu me rasais. J’étais en paix, c’était un joli moment ou tu m’enlevais la cire pendant que je te caressais légèrement un pied ou une cuisse. C’est con, mais je m’émeus en l’écrivant.
Je suis allé chercher la clé de ma cage, pardon je n’ai pas pensé à la nettoyer.
Je ne sais pas si c’était une punition pour ça ou juste parce que t’avais envie, mais tu m’as fait m’agenouiller sur du riz. Avec les endorphines et une meilleure position, cela faisait malgré tout moins mal qu’au début. J’ai pris soin de ramasser tous les grains, dans ma tête tu allais les rejeter par terre et me faire recommencer si tu n’étais pas satisfaite. Au lieu de ça, une petite menace de recevoir des coups de fouet. Je frissonne à l’idée que tu me fouettes, mais je sais que tôt ou tard tu le feras.
Et la séance est finie, comme d’habitude elle m’a semblé trop courte (oui je suis un pervers). Loin de mes limites, mais riche en sensations et en hormones. Un aftercare superbe à suivit (MERCI) avec un dîner bouleversant, et un souvenir inespéré.
Merci Madame de ce que tu me fais sentir, subir et apprendre.
À très bientôt.
Superbe récit une fois de plus qui reflète bien la passion que vous vivait à chaque rencontre…