Un dressage différent : CR de la chienne Julia
L’année dernière, une chère copine, Maîtresse Blanche, m’a envoyée sa chienne Julia pour goûter la Domination à ma sauce.
Je vous encourage fortement de regarder le site de Maîtresse Blanche, qui est spécialisée dans les jeux médicaux dans son GNC (Gynarchic Nurse Clinic) près de Fontainebleau.
Je vous invite aussi à visiter le site de Julia, Pérégrinations d’une petite chienne, où elle décrit ses expériences aux pieds de cette femme magnifique.
Et voici le compte rendu :
UN DRESSAGE DIFFÉRENT
Maîtresse Blanche a décidé d’envoyer sa petite chienne se faire garder en son absence et confié le soin à Maîtresse Inanna de s’occuper d’elle.
Une enveloppe m’a été confiée pour préparer ce moment avec des instructions strictes à suivre à la lettre. Elle ne doit être ouverte que 3 heures avant mon rendez-vous. En l’ouvrant je découvre une note m’indiquant où je serai envoyée. La Maîtresse que je vais rencontrer aura pleine autorité sur moi et je devrais obéir au moindre de ses ordres. L’enveloppe contient également mon collier attitré que je passe avant même de prendre les transports.
Je sonne à l’heure dite et entre chez ma Maîtresse d’un soir. Je garde la tête baissée comme le ferait tout petit soumis bien dressé. Maîtresse Inanna m’accueille en m’attrapant par les cheveux pour m’emmener au cœur de son appartement.
Je garde cette posture en me déshabillant mais j’observe mon « hôtesse » du coin de l’oeil. Maîtresse Inanna est bien différente de ma Maîtresse mais il se dégage d’Elle la même confiance en soi et la même autorité naturelle que Maîtresse Blanche. Je n’ai pas à forcer ma nature, je me sens immédiatement à l’aise pour lui confier mon corps et mon esprit, conformément aux ordres de ma Maîtresse.
Elle m’intime de mettre à quatre pattes sur une table sur laquelle un petit récipient avait préalablement été placé, juste sous ma tête. Je suis saisie par la tête puis vient s’enfoncer dans ma bouche la main gantée de Madame Inanna. Je lèche ses doigts par réflexe mais suis immédiatement rappelée à l’ordre faute d’en avoir reçu l’autorisation. Sa main vient prendre totale possession d’un de mes orifices puis saisit ma langue pour la coincer dans un étau de bois. Impossible de la rentrer. Je suis contrainte de garder la bouche ouverte.
« Tu vas baver petite chienne. Oh oui ça, tu vas baver. Tu vas gentiment remplir ce petit bol et je ne serai satisfaite qu’une fois que tu l’auras rempli », me chuchote-t-elle à l’oreille, en plaçant un petit morceau de gingembre dans la bouche pour m’aider. Ma petite tumeur, nom officiel de mon pénis, se dresse rapidement suite à cette entrée en matière.
Je sens dans la foulée un autre de mes orifices s’ouvrir et y accueillir un doigt. Mais une douleur piquante et brûlante me fait très rapidement comprendre que c’est la suite du gingembre qui a été placée. Je me tortille pour absorber cette sensation, pour l’apprivoiser, l’accepter et la transformer en plaisir.
Pendant ce temps, Madame Inanna procède à une inspection de mon corps. Tantôt des caresses, tantôt des fessées. Chaque fois que ses mains s’approchent, je ne sais à quoi m’attendre. Quelques pinces viennent mordre ma peau, la tirer et la serrer. Je commence à baver et à remplir mon petit bol. Un filet de bave continue me relie à ce récipient. Ma tumeur elle aussi se met à couler.
« Mais tu mouilles. T’es comme une petite pute. Et les petites putes ça avale bien sa mouille, n’est ce pas ? ». Le long filet sortant de ma tumeur est immédiatement remis à sa place, au fond de ma gorge.
Madame Inanna en profite pour reprendre les exercices d’exploration de ma bouche tout baveuse. Je relève la tête pour la regarder dans les yeux pour la première fois de la soirée. Je découvre son joli visage, tout souriant, et son regard puissant et sauvage. Je remue mes petites fesses comme me l’a appris Maîtresse Blanche pour montrer que je suis toute heureuse de faire ainsi la connaissance d’une amie de ma Maîtresse.
« Tu en as de la chance petite chienne, tu sais. Tu appartiens à Blanche et c’est une femme d’exception. » J’abois immédiatement. Je suis entièrement d’accord avec cette affirmation.
Je reste concentrée à sucer ces doigts qui ont élu domicile dans mon orifice buccal. J’imprime de larges va et vients en remuant la tête et en poussant quelques soupirs de plaisir et d’excitation.
S’achève ainsi la première partie de ma rencontre avec Madame Inanna. Je suis autorisée à me reposer un peu avant d’attaquer la suite. Je me m’allonge sur le dos. Ce nouveau point de vue offert par cette position me permet de voir davantage le lieu dans lequel je me trouve. Joliment décoré, l’ambiance feutrée se marie parfaitement avec le fond musical.
J’aperçois certains instruments dont je ferai connaissance plus tard. Mais mes yeux s’attardent sur une barre suspendue au plafond. Je songe à ceux qui m’ont précédé, qui furent attachés à ce dispositif. Mes pensées sont brutalement interrompues par Madame Inanna qui se saisit d’une longue corde et m’attache solidement et énergiquement à la table.
Mon corps se met à trembler par accoups. Est-ce dû au refroidissement suite aux premiers exercices ? Ou bien au fait que je vais me retrouver bien vulnérable, à la merci d’une inconnue, sans savoir ce qui m’attend ? Sûrement un peu des deux. Je tente de contenir ces frissons sans réussite. Mon pendentif vient se cogner contre mon collier à chaque spasme, libérant un petit tintement qui semble faire le plaisir de ma tortionnaire bien occupée à saucissonner la petite Julia.
Désormais sécurisée et ne pouvant plus bouger, je n’ai pas la possibilité de me dérober pour soutenir la roue de wartenberg que Madame Inanna applique consciencieusement sur mon corps, alternant les intensités et les parties de mon corps « visitées ». Ma petite tumeur n’y échappera pas mais témoignera directement du masochisme qui m’habite en se dressant en réaction aux multiples passages de cet instrument sur mon corps.
Quels rires sadiques indiquent le plaisir que prend Madame Inanna à jouer avec moi ou de moi.
Madame Inanna est une femme de contrastes. Et elle aime jouer à alterner les sensations en me caressant ou en embrassant certaines parties de mon corps avant de les mordre. Je ne sais sur quel pied danser. Je ne sais jamais ce que me réserve la suite, ce qui tend à renforcer mon impuissance et les sensations offertes par mon immobilisation.
Je la regarde, impressionnée par cette situation. « Tu sais que tu vas me sucer après ? Tu vas prendre ma grosse bite dans ta bouche ! ». Je demande pitié du regard mais sais que c’est peine perdue quand elle se saisit de son gode ceinture et l’enfile sous mes yeux mi-apeurés, mi-excités.
Cependant, Elle ne joint pas les actes aux paroles. Elle pose deux dispositifs sur mes petites mamelles de chienne pour bien les étirer et les relier à cette fameuse barre suspendue au dessus de ma tête. Ouch ! Ça tire ! Mais il faut savoir souffrir pour être belle, dis le dicton…
Bien féminisée et attachée, je suis fin prête pour sucer et montrer mes talents de petite chienne lubrique. Madame Inanna me tourne la tête et m’enfonce son gode dans la bouche. Je couine de plaisir ! (j’adore sucer Maîtresse, vous le savez). Le gode s’enfonce dans ma gorge, en ressort, y re-rentre. Je suis littéralement violée de la bouche. Je tousse un peu, respire puis reprend mes exercices.
« C’est bien petite chienne. Tu es bien dressée ! Tu sais, tu as de la chance d’être au service de Blanche. Et elle a de la chance de t’avoir. » Ces mots me touchent profondément. Je ne peux pas sourire en guise de remerciement ayant la bouche bien occupée mais j’adresse à Madame Innana un regard de gratitude. « Il faudra qu’on te prenne à deux avec Blanche. Elle dans tes fesses, moi dans ta bouche, puis l’inverse. » (là, je dois avouer que j’ai joui du cerveau…)
La fin de cette belle expérience approche. Madame Inanna se retire de ma bouche, enduit ma tumeur et commence un travail de stimulation avec interdiction formelle de jouir. Je me concentre pour bien obéir. Je suis à la limite mais parviens à me contenir en me laissant aller à des pensées m’emmenant loin de l’instant présent.
Madame Inanna me libère de mes entraves. Je lui adresse mes profonds remerciements en m’inclinant face à Elle et repars toute heureuse, impatiente de retrouver Maîtresse Blanche qui aura très certainement eu vent de cette expérience, impatiente d’être de nouveau à ses pieds ou ligotée à sa table d’examen.
Je repars également heureuse d’avoir fait la connaissance d’une personne fondamentalement différente de ma Maîtresse, mais tout aussi généreuse et attentionnée et que j’aurais plaisir à voir de nouveau si ma Maîtresse le souhaite.