La bienveillance n’empêche pas la cruauté
J’ai pris contact avec Madame Inanna Justice en décembre pour planifier avec elle une session de kidnapping.
Étant dans une situation personnelle un peu spécifique (problèmes de santé) elle a été parfaitement à l’écoute de mes contraintes et a su être créative pour trouver avec moi les solutions les plus pertinentes pour avoir une session intéressante pour nous deux.
Tous nos échanges de mail étaient remplis de bienveillance et elle est allée jusqu’à me souhaiter un bon voyage en train (je ne vis pas à Paris) avant notre échange. Rassurez vous, la bienveillance n’empêche pas la cruauté pendant la séance comme vous pourrez le constater par la suite.
Le scénario et l’attention qu’elle porte au moindre détail durant la préparation de celui-ci font qu’elle a réussi à me surprendre. Je me suis ainsi très rapidement retrouvé immobilisé et cagoulé dans ma chambre d’hotel et à sa totale merci.
Sans rentrer dans les détails je n’étais pas prêt pour l’intensité dont elle a fait preuve pour me torturer. J’ai beau faire régulièrement des séances chez des dominas j’ai assez peu souvent ressenti une douleur pareil et, 24h plus tard, ma peau me rappelle douloureusement les activités de la veille dès que j’ai l’idée saugrenue de toucher certaines zones encore très (trop?) sensibles.
Au-delà de cette intensité, j’ai eu la joie d’expérimenter un nombre varié de pratiques. Madame Inanna Justice a un grand nombre de cordes à son arc et pas seulement pour immobiliser son prisonnier. Je ne les listerai pas ici pour ne pas vous gâcher la surprise.
En termes d’ambiance, une musique de fond permettait d’amener une certaine sérénité ce qui n’était pas désagréable. Assez ironiquement cette musique était en lien avec le mot de passe qu’elle devait me faire avouer. Nous en avons rigolé après coup. Je suspecte toutefois la musique d’avoir pour objectif de couvrir les sons que je pouvais émettre en recevant les coups.
Enfin, la bienveillance qui transparaissait dans les mails n’avait pas disparu pendant la séance car Madame s’assurait que tout allait bien pour moi et me laissait un peu souffler quand elle sentait que ça devenait un peu difficile.
Après notre session, nous avons échangé autour d’un verre. Cet échange s’est avéré très riche et j’ai été très heureux de pouvoir discuter avec Madame.
N’hésitez donc pas à vous lancer dans le grand bain et de découvrir Madame Inanna Justice, vous ne le regretterez pas.