Une première séance pour lui
Très Noble Maîtresse Inanna,
Voici mon compte-rendu d’une première séance de dressage que vous m’avez accordé.
J’ai énormément de chose à dire et à vous communiquer.
Par l’extra-ordinaire énergie que vous communiquez, vous avez fait exploser une nombre incalculable d’idées et de sensations.
Je ne sais pas si je vais arriver à tout dire tellement il y a de choses dans mon esprit. Je vais essayer d’être le plus honnête avec vous, Sublime Maîtresse Inanna. Un soumis/esclave doit être le plus transparent possible avec son Dominant. Je pense que c’est la condition primordiale pour qu’une vraie relation de confiance soit établie. La seule manière pour le Dominant puisse bien contrôler et éduquer le soumis qu’il a sous sa protection.
Vous avez employé à plus reprises “sous ma protection”, j’ai beaucoup aimé cette expression. Je suis en total accord avec vous, Noble Maîtresse Inanna. Vous avez conscience que la puissance et la suprématie que vous avez sur le soumis, vous donne une responsabilité. Le soumis remet sa liberté à son Dominant, il devient vulnérable. Le Dominant le contrôle à son idée, l’éduque à son image, mais cela n’implique pas la destruction du soumis, au contraire au travers cette soumission, l’esclave se construit et s’épanouit. Je vous remercie pour cette philosophie, Noble Maîtresse Inanna et je vous vénère et respecte pour cela.
On est à plus d’une semaine de cette session et j’ai encore du mal à redescendre. L’impact qu’a eu ce moment, j’en reviens toujours pas. J’ai 20 ans d’expérience dans le BDSM, il y a une forme d’exigence en moi par rapport aux Maîtresses que je rencontre. Avec cette expérience, il est facile de s’aigrir et de dire cétait mieux avant. Mais avec vous Impérieuse Maîtresse Inanna, je viens de rajeunir de 20 ans…
J’étais en présence d’une Authentique Femme Dominante, avec une vraie intelligence.
J’ai pensé à vous pendant tout le week-end, cela devenait obsédant.
Deux heures notre rencontre, je n’arrive plus à faire autre chose que de penser à ce moment que vous alliez m’accorder pour le dressage.
J’ai tout lâché et je suis venu me poser dans le parc à côté de chez vous, l’attente était interminable. Mais cela m’a permis de calmer le stress du travail. J’ai évacué tout le reste pour être seulement à vous.
Quand vous êtes apparu, j’étais totalement fébrile. Vous étiez absolument Magnifique. Vous étiez la personnification de la Femme Dominante. Il était clair que devant vous les hommes s’inclinent et obéissent. Votre regard perçant et déterminé m’ont fait fondre. J’avais du mal à vous regarder dans les yeux. J’étais envahi d’une crainte de dire une énorme bêtise. Une bêtise qui allait me disqualifier à vos yeux et qui me ferait repartir chez moi comme j’étais venu sans connaître votre éducation stricte. J’aime votre voix si déterminée avec votre accent si cute. Finalement, vous m’avez accordé de vous suivre chez vous. À ce moment là j’étais dans tous mes états.
Quand nous sommes entrés dans l’ascenseur, une envie brûlante m’a pris de me jeter à vos pieds pour les baiser. Je ne sais pas comment j’ai réussi à me retenir. Nous sommes arrivés dans votre appartement, j’ai exécuté vos ordres vous attendre nu dans la pièce principale le temps que vous vous prépariez dans la salle de bain.
Vous êtes ressortie avec une élégante robe de cuir, je vous attendais nu et à genoux, parce que vous m’aviez déjà conditionné: prêt à vous obéir et à vous suivre dans votre danse BDSM.
Après, je n’ai plus vraiment le souvenir dans la suite des évènements.
J’étais dans un état hypnotique.
J’ai tout de même des flashs.
Vous m’avez dit que vous étiez très tactile et dans une approche très sensuelle.
J’étais absolument en accord avec votre pratique.
Je recherche justement cette pratique, pour entrer en transe et vous suivre dans vos jeux pour accepter une douleur de plus en plus intense et la transformer en plaisir.
J’aime absolument cette façon de travailler le soumis pour l’emmener dans la direction qui vous plaît.
Le soumis est tellement excité que sa volonté première est de plaire à la Maîtresse et d’accepter toutes les humiliations, tous les outrages, tous les sévices. Je suis un adepte de votre philosophie. Cette pratique est tellement animale.
J’ai aimé votre odeur de peau, la douceur de votre peau ou de votre robe en cuir, je ne voyais plus la différence, vos caresses, vos fessées, vos morsures, vos baisers.
J’ai aimé comment vous avez tripoté ma bouche, en mettant les doigts dans la bouche pour en servir de prise pour me diriger dans l’espace.
J’ai aimé ce jeu où vous contrôliez ma respiration, je pouvais respirer que par l’air que vous respiriez. J’ai eu dans un premier temps une crainte de mourir, de m’asphyxier. Puis d’un coup, j’ai tout lâché. Si je devais mourir à cet instant cela serait une belle mort entre vos mains.
Mais non, il fallait que je vous suive et que je vous fasse une absolu confiance.
Vous aviez la volonté de m’éduquer dans la douleur. Mais vous ne vouliez pas me détruire au contraire. Vous vouliez me permettre de m’épanouir sous votre controle, sous votre protection.
J’ai une plaisir immense de vivre cette situation.
Toute la douleur que vous m’infligiez se transformait en plaisir intense:
La canne, les pinces, le travail des seins, la bougie…Merci Mille fois Divine Maîtresse Inanna. Quand vous avez manié les couteaux, je ne brillait pas, mais j’étais en totalement confiance entre vos mains.
J’ai eu l’impression que vous n’avez pas pousser les jeux d’impact mais pourtant j’ai encore des marques après plus d’une semaine. J’aime garder le résultat de votre travail pendant si longtemps. J’ai une fierté à porter votre signature.
Mes seins ont été sensibles pendant une semaine. Rien qu’en les touchant je repensais à vous Noble Maîtresse Inanna et à la séance extaordinaire que vous m’avez fait vivre.
Après 20 ans de soumission, c’est incroyable que rencontrer des Maîtresses comme vous. C’est de plus en plus rare. On devient exigeant dans sa pratique et on ne s’émeut pas facilement.
Mais avec vous Divine Maîtresse Inanna, c’est un total extase.
J’ai hâte si vous le permettez de revenir ramper à vos bottes.
J’ai le désir de vérifier, si tout cela n’était pas le fruit du hasard.
J’aimerai tellement suivre votre dressage régulièrement, il est tellement adapté à ma pratique et c’est tellement rare. Vous alimentez mes fantasmes, c’est vraiment extrêmement puissant.
Vous m’avez dit que vous alliez au Cap. Je m’imagine que vous m’y promeniez en laisse, avec une cage de chasteté et pluggé aux yeux des gens du camp de naturiste. Vous m’avez également parlé que vous alliez faire un week-end BDSM. Je m’imaginais immergé pendant 48h sous votre contrôle…un délice.
À la fin, pour que je puisse redescendre. Nous avons discuté autour d’un verre. J’aime échanger avec vous. Cela est très enrichissant d’avoir votre vision de l’Amérique par exemple. Vos points de vue m’intéressent.
Juste avant de vous quitter, vous m’avez permis d’embrasser vos pieds chaussés. C’était un moyen pour moi de vous prouver mon respect et ma soumission.
J’ai cru entendre venant de vous des petits bruits de satisfaction. J’étais aux anges de savoir, que peut-être j’avais été à la hauteur de vos attentes.
Et je m’incline pour vous rendre gloire, Sublime Maîtresse Inanna.
Avec toute ma dévotion.