Des envies de soumis frustré

Je vous écris pour vous remercier pour le moment que nous avons passé ensemble chère madame Justice, même je ne sais pas comment vous appeler dorénavant : Madame la directrice des ressources humaines ou Madame la maitresse. 

J’ai apprécié notre rencontre, chaque moment et chaque détail. J’ai adoré vous obéir, j’ai adoré vous sentir, j’ai adoré sentir vos mains tantôt douces tantôt dures, j’ai adoré sentir votre parfum, mais surtout vos odeurs. 

Oui vos odeurs, l’odeur de vos aisselles, l’odeur de vos pieds, l’odeur de votre culotte… 

Place au jeu, la pièce magnifiquement agencée m’a permis de lâche prise et à peine quelques minutes dans la pièce que vous voilà en train de me masser l’anus le préparant pour recevoir un plug qui va m’accompagner toute la séance et ne me quittera que pour être remplacé. 

Dans l’inconfort, un peu de confort : à genou devant votre beauté, à genou devant votre grandeur, j’ai aimé quand vous m’avez giflé avant de me récompenser avec votre salive dans la bouche. 

À genou, j’ai cru rêve quand vous m’avez permis de vous caresser et de renifler les fesses. J’aurais pu faire des heures, j’avais envie de les embrasser, de les mordiller. J’avais envie d’enlever le tanga et d’embrasser chaque millimètre, j’avais envie de renifler le parfum de votre anus, j’avais envie de nettoyer votre anus avec ma langue, mais cela ne sont que des envies de soumis frustré. 

Ensuite, place à la punition ! la punition du fétichiste qui dérange ses collègues femmes par la directrice RH Innana justice. 

Une belle fessée rythmée avec les mains, tellement de coup que j’ai arrêté de les compter. Ce que j’aurais aimé : c’est de voir à quel point mes fesses ont rougi après votre punition. 

La DRH punit, mais la DRH comprend… Bâillonné, j’avais vos deux merveilleux pieds à moi. J’ai adoré les embrasser, les lécher, les sucer… j’en rêve encore chaque soir.   

Après, madame est excitée et a envie de baiser sa chienne. 

Elle commence par m’attacher par les mains puis par m’écarter les jambes avant de venir me pénétrer et me défoncer le cul. J’ai joui du cul, j’ai été dans un autre monde, dans un rêve, je ne voulais pas que ça s’arrête ! 

 Les trois jours qui ont suivi ont été accompagnés de beaucoup de nostalgie et de frustration, je me trouvais plusieurs fois dans mes pensées à repasser le film de la rencontre. Et quand je plongeais dans mon travail ou une autre activité pour oublier des courbatures au niveau du cou et du torse venaient me rappeler la position de chienne que j’ai occupé : les jambes écartées, le cul rempli par le gode de madame Justice et quand c’était pas le gode, c’était ses doigts divins qui fouillait à l’intérieur de moi … Je ne voulais pas que ça s’arrête ..